Un projet d’agrandissement de maison sur le côté implique de prendre en compte divers paramètres.
Des spécialistes du bâtiment vous livrent les premières notions que vous devez posséder avant de vous lancer !
Le prix
Notez que le prix de construction clé en main de cet agrandissement, se situe autour de 1 300 à 2 000 € par m² (tout compris, dont les finitions). En fonction des matériaux utilisés, le coût sera donc égal à celui d’une construction classique.
Mais vous pouvez aussi avoir quelques variantes que nous étudierons pas la suite :
Solution d’agrandissement latéral |
Tarif |
Agrandissement en dur : accolé ou indépendant |
de 1 300 à 2 000 € le m² |
Agrandissement par véranda |
de 500 à 2 500 € le m² |
Agrandissement en ossature bois |
de 1 400 à 2 100 € le m² |
Aménagement d’un garage existant |
de 500 à 1 000 € le m² |
Jumelage de maison |
de 100 à 1 000 € le m² en aménagements + prix maison |
Les différentes solutions d’agrandissement sur le côté
Il existe différentes solutions pour agrandir sur le côté, selon que vous le ferez accolé, indépendant, que vous profiterez du garage déjà présent, que vous choisirez une solution en dur ou une véranda, ou même que vous bénéficierez d’une maison déjà jumelée.
Agrandissement par garage existant
Il est assez fréquent qu’une maison dispose d’un garage attenant. C’est une bonne solution pour en profiter pour utiliser tout ou partie de ce garage, selon ses dimensions, pour rajouter des pièces à votre logement.
Si votre garage était suffisamment grand, vous pourrez même en conserver une partie pour continuer à y mettre votre véhicule (ou vos véhicules à l’abri).
Dans le cas contraire, il vous faudra peut-être penser à une autre solution de stationnement (un autre garage, un carport) et intégrer ce coût dans le devis global. En général, supprimer des places de stationnement sur votre propriété peut, effectivement, entraîner des pénalités de la part d’une commune. Sauf si, bien sûr, il vous reste suffisamment de place pour votre voiture sur votre terrain, rien ne vous obligeant à l’abriter, d’ailleurs.
Pour information, un carport simple adossé à un pignon revient de 500 à 2 000 €.
Cette solution est couramment utilisée parce qu’elle est l’une des plus rapides et des plus faciles à mettre en oeuvre, la partie gros oeuvre étant quasiment réalisée.
Dans ce cas, selon que le garage dispose déjà ou non d’une liaison directe avec la maison, vous pourrez l’utiliser ou devrez en réaliser une, ce qui, dans ce dernier cas, revient à ouvrir une porte dans un mur porteur. Vous en trouverez les tarifs et les consignes sur l’article dédié. Comptez de 2 000 à 3 000 € pour cette ouverture spéciale.
Pour un garage complet créé en indépendant, comptez autour de 600 € le m².
Ensuite, disposant des murs, d’un sol béton, d’une charpente et d’une isolation, et certainement d’une base électrique, il vous restera à :
- compléter l’électricité ;
- étudier une distribution d’eau et des évacuations, si vous en faites une cuisine ou installez une salle d’eau ;
- installer la cuisine ou salle d’eau ;
- remplacer la porte de garage par une baie vitrée ou créer des ouvertures (attention, dans ce cas aussi, aux ouvertures de mur porteur) ;
- réaliser une finition de sol en carrelage, PVC ou parquet ;
- isoler puis installer un plafond, des doublages et des cloisons en placo ;
- passer aux finitions de peintures.
Cet agrandissement par le garage, seul, permet quelques économies et revient entre 500 et 1 000 € le m² en aménagements, selon que ce sera une simple chambre, par exemple, ou une suite parentale complète.
Agrandissement indépendant
C’est une option, moins fréquente, puisqu’il est nécessaire de passer par l’extérieur pour atteindre cet agrandissement. Il est cependant utilisé, par exemple, pour créer du locatif, notamment de vacances, en Airbnb ou pour des adolescents qui souhaitent trouver un peu d’indépendance, voire des parents qui viennent habiter auprès.
Cependant, il vous faut aussi un terrain qui s’y prête et vous permette d’avoir une surface latérale suffisante disponible.
Le prix d’un tel agrandissement sur le côté ne diffère pas d’un agrandissement accolé.
Une maison jumelée
Parfois, vous possédez une maison avec mur mitoyen du voisin. Si la maison du voisin est alors à vendre, pourquoi ne pas l’acheter pour trouver une aile toute construite à votre propre logement ?
Le prix d’une telle construction sera, avant tout, celui de l’achat de cette maison attenante.
Pour le reste, tout dépendra de l’état dans lequel vous l’achetez et ce que vous souhaitez en faire. C’est pourquoi il vous faut prévoir une rénovation qui va du symbolique à des travaux d’un peu plus grande ampleur, soit de 100 à 1 000 € le m², environ, en plus de l’achat de l’habitation.
Une construction latérale totale
Une construction latérale sera la principale solution de cet agrandissement par le côté et reprendra donc le prix annoncé précédemment, soit de 1 300 à 2 000 € le m².
Dans ce cas, il faut en effet prévoir un coût total de construction puisqu’il faudra en passer par des semelles, une dalle béton et tous les travaux de gros oeuvre associés.
La règle de construction stipule alors que, pour effectuer une construction de type agrandissement, deux options sont envisageables :
- s’accrocher à l’existant à condition, bien entendu, de respecter les règles : identifier les aciers existants, réaliser les reprises d’aciers, etc. ;
- créer un bloc indépendant de la construction existante : elle se fait alors comme une construction indépendante.
En théorie, il faudrait construire en se détachant de la construction existante, en ajoutant des joints de dilatation, afin que la partie annexe puisse travailler toute seule.
La meilleure solution est donc de créer un bloc de construction (soit quatre murs) que l’on va venir adosser sur la construction déjà en place.
Mais, dans la pratique, en présence d’un mur, les professionnels tendent à s’y raccrocher, ainsi, dans le cas où l’agrandissement se fait en se raccrochant à l’existant, il faudra donc ajouter trois murs et s’accrocher à chaque niveau, reprise des aciers, liaison de couverture par noue, etc.
Pour ce type de travaux d’agrandissement, par le biais d’un raccrochage, il faut faire appel à ingénieur béton armé, car le risque est de tirer sur une partie de la construction existante, ce qui peut causer des dommages relativement importants.
Se pose alors quasi impérativement le problème d’une autre liaison avec l’existant, en termes d’ouverture, comme vu dans le cas du garage attenant.
Ensuite, vous aurez la possibilité de créer une aile avec 1 ou 2 niveaux, selon la surface d’extension attendue et la surface de terrain disponible.
Le principe de construction
Fondations
Afin de faire les fondations de l’agrandissement, il faudra commencer par le terrassement.
Il n’est alors pas rare de retrouver la fondation de l’existant, ce qui peut se révéler un peu problématique car il y a risque de percer une partie de cette fondation.
Il faudra être très vigilant lors de cette étape afin de ne pas risquer de couper les aciers en place.
Pour travailler, notez qu’il n’est pas obligatoire de placer le parpaing au milieu de la fondation. En effet, il peut être placé de manière décalée.
On peut, en effet, travailler un peu au-dessus de la fondation existante et prendre appui par-dessus.
Dans la pratique, on part sur une fondation classique comprenant la réalisation de fouilles, de semelles, etc.
Si besoin, il est aussi possible de faire une fondation en longrine.
Construction
La construction se fera de manière classique via le montage de parpaings ou de briques, ou via une ossature bois, la réalisation de la charpente (traditionnelle ou fermette).
Une reprise de couverture sera à réaliser avec la couverture existante afin de pallier tout risque de fuite.
Des solutions alternatives
Toujours dans l’idée de créer un agrandissement à votre maison par les côtés, selon comment est configuré et orienté votre logement, vous aurez également des solutions autres qu’une construction béton.
La solution de la véranda
Une véranda peut désormais être comprise comme une pièce de la maison, permettant d’y vivre toute l’année. Avec les progrès réalisés en termes de vitrage isolant, avec la possibilité de volets, vous pourrez en faire une véritable cuisine, un salon ou un bureau utilisable toute l’année.
Cette véranda pourra ainsi vous aider à repenser la distribution de vos autres pièces et, par exemple, récupérer le salon ou le bureau initial pour agrandir votre coin nuit.
La réalisation d’une véranda revient alors entre 500 et 2 500 € le m², selon le niveau d’isolation requis et selon les travaux de maçonnerie au préalable, incluant aussi un minimum d’électricité. Pour le chauffage, un poêle à granulés pourrait venir chauffer cette partie annexe.
La solution d’une construction bois
Que votre maison soit déjà en bois ou non, il est fréquent d’ajouter une aile sur cette solution bois pour l’agrandissement latéral.
Comme nous l’avons vu dès le début, ce choix n’est pas forcément financier, mais plutôt esthétique puisque le prix est évalué de 1 400 à 2 100 € le m².
C’est aussi une solution écologique qui vous garantit également de bonnes économies d’énergie.
Dès lors, vous pourrez en faire ce que vous souhaitez : un agrandissement de pièce de jour, une suite parentale, des chambres pour les enfants ou les amis, un bureau, etc.
Les restrictions possibles
A- La limite de propriété
Une des premières restrictions auxquelles vous pourriez être confronté est le problème de la limite de propriété.
La réglementation indique qu’il faut s’implanter :
- soit à 3 mètres de la limite de propriété,
- soit sur cette limite de propriété.
Toutefois, la législation est encore un peu plus complexe puisque plusieurs cas de figure peuvent se présenter :
- respecter les règles d’ensoleillement, ce qui peut poser problème si vous créez, en plus, une aile avec un étage et que vous souhaitez vous placer en limite de propriété. Il sera donc important de disposer de l’autorisation du voisin pour éviter tout litige ;
- pour un agrandissement élevé, la règle est, d’ailleurs, de respecter une distance égale à la moitié de la hauteur, ce qui signifie que, à 8 mètres de haut, une distance de 4 mètres est demandée ;
- vous souhaitez vous placer à 3 mètres et créer des ouvertures pour faire entrer plus de lumière : il faut alors savoir que vous devez avoir un minimum de 1,90 m en vue droite entre le bord de votre ouverture et la limite séparative et 0,60 m en vue oblique. Ce qui ne sera pas un problème, mais le deviendra si vous placez une terrasse puisque la règle est alors la même.
- enfin, si le voisinage n’est autre qu’un espace ou une voie publique, prendre contact avec les services de l’urbanisme pour s’assurer qu’aucune autre contrainte n’existe sera indispensable si vous ne voulez pas voir votre permis refusé et perdre du temps ;
- le dernier problème, en limite, est aussi lié à la zinguerie, lorsque la pente est en direction du terrain voisin puisque le mur doit être placé en exacte limite de propriété, mais les gouttières ne doivent pas, non plus, déborder. Un chéneau zinc au niveau du mur est alors la solution.
B- La surface de l’agrandissement
Autre restriction, celle de la surface autorisée de l’agrandissement.
Cette restriction est fonction des communes, des régions et de nombreux autres critères qui rentrent en compte et qui permettent d’agrandir de telle ou telle surface.
Pour connaître les possibilités de votre logement, vous devrez donc vous rapprocher de votre mairie qui est en mesure d’indiquer la surface autorisée en agrandissement.
C- Le permis de construire
Dernière restriction, l’agrandissement est obligatoirement assorti d’un permis de construire validé.
D- La nécessité d’un architecte
C’est une contrainte supplémentaire qui risque de vous être imposée lors d’un agrandissement.
En effet, si, avec cet agrandissement, votre construction dépasse les 150 m² habitables, vous devez présenter une demande de permis validée par un architecte.
Pour information, un architecte facture sur la base des travaux, avec un pourcentage allant de 8 à 12 % ou selon la surface, de 60 à 100 € le m². Cette fourchette dépend aussi de la tâche qui lui sera confiée : réalisation de plans, signature de la demande de permis, recherche d’artisans, suivi du chantier.
Estimer la durée des travaux
Si vous êtes dans l’urgence, par rapport à une naissance ou une location, par exemple, vous serez intéressé pour connaître le temps que prendra cet agrandissement.
Dans un premier temps, une fois les devis et les plans réalisés, vous obtiendrez un permis de construire en 2 mois si votre dossier a été déposé complet et que vous avez déjà éliminé tout ce qui pourrait entraîner un refus et le dépôt d’un nouveau permis.
Si vous êtes dans un secteur sensible avec un site protégé à proximité, il vous faudra aussi passer l’architecte des Bâtiments de France et compter 1 mois supplémentaire pour son accord.
Enfin, en termes de travaux purs, passé ce délai, comptez 1 à 2 mois de travaux pour un agrandissement de 20 à 30 m², de 2 à 3 mois pour jusqu’à 50 m² et 3 bons mois pour 80 m².
Les conseils d’un professionnel
Cet agrandissement doit cependant être effectué dans les meilleures conditions pour cumuler des problèmes qui sont évitables si vous suivez certains conseils.
- Avant même les travaux, pour prévoir cet agrandissement, se renseigner auprès du service de l’urbanisme ou éplucher le règlement de lotissement vous évitera de partir sur un projet qui serait refusé et vous fera gagner un temps précieux.
- Toujours dans le projet d’agrandissement, mieux vaut commencer par le côté financier et savoir de quel budget vous pouvez disposer avant de vous lancer dans des demandes que vous ne pourriez pas valider. Sans oublier de prévoir une marge d’erreur, car il est très rare qu’un chantier se déroule sans la moindre plus-value.
- Votre projet doit être mûrement réfléchi et vous devez bien prendre le temps de comprendre tous les problèmes de vie et de circulation à l’intérieur de votre logement, après cet agrandissement. Ce sera d’autant plus facile si vous habitez déjà la maison avant son agrandissement ; ce sera plus compliqué si vous faites cet agrandissement sur une acquisition toute récente.
- Réaliser des travaux, quels qu’ils soient, dans une maison, se traduit systématiquement par une gêne, que ce soit pour vous, mais aussi pour votre voisinage. Cette gêne peut se traduire par du bruit, par du stationnement de véhicules, par des dégradations de l’environnement ou encore par une présence toujours intrusive dans votre vie courante, il faut en être conscient et s’y préparer.
Comme ces travaux ne s’effectueront pas directement dans votre environnement actuel, excepté une éventuelle ouverture de mur, vous pourrez vous préserver une certaine intimité, surtout si vous travaillez à domicile.
De plus, en cas de risque de gêne pour le voisinage, par des travaux en limite de propriété ou si vous habitez, comme vos voisins, dans une impasse, mieux vaut prévenir de la tenue de ces travaux.
Attention aussi, si vous avez des animaux, car votre portail risque de rester souvent ouvert. - Le sol est également un aspect à ne pas négliger. Trop meuble ou possédant des nappes d’argile, votre construction pourrait être fragilisée et un renfort des semelles peut se révéler indispensable. Il peut même être nécessaire de prévoir des micro pieux, ce qui peut se traduire par un surcoût important dans le budget et contrarier une partie de vos travaux. Il est donc essentiel de le prévoir dès les devis pour ne pas avoir de mauvaise surprise.
- Agrandir une maison implique de penser à toutes les conséquences que cela peut avoir sur l’habitat actuel. C’est pourquoi, dans la solution retenue, il vous faudra aussi penser à tout ce que cela implique comme conséquence esthétique, bien sûr, mais aussi en gain ou perte de luminosité, en perte de terrain disponible, en surcoût de consommation énergétique. Il vous faudra aussi voir si votre compteur électrique reste suffisamment puissant, si votre chauffage peut supporter cette surcharge, ainsi que votre production d’eau chaude.
FAQ
Je voudrais agrandir ma maison mais je n’ai pas énormément de terrain. On m’a signalé que, compte tenu de la restriction du coefficient d’occupation des sols, je risquais de voir mon projet refusé. Qu’en est-il réellement ?
Le principe du COS a disparu avec les nouvelles règles et les PLU. Ce qui est désormais regardé est l’emprise au sol, les hauteurs de faîtages ou les distances réglementaires par rapport aux limites séparatives. Le CES présente, toutefois, lui aussi des limites et il vous faudra consulter le PLU de votre commune pour en connaître le seuil, s’il y en a un de fixé, ce qui n’est pas toujours le cas, et voir si vous entrez dans les limites attendues.
Est-ce que, comme dans le cas d’une rénovation, je peux avoir droit à des réductions de TVA pour un agrandissement ?
Le taux de TVA réduit s’applique aux travaux d’amélioration, de transformation, d’aménagement et d’entretien, autres que les travaux de construction ou de reconstruction et d’agrandissement, comme le suggère l’article 279-0 bis du Code Général des Impôts. Si l’extension est supérieure à 10 % de votre surface habitable initiale, vous n’aurez donc pas droit à cette TVA réduite. Pour y avoir droit, par exemple pour une construction initiale de 120 m², votre agrandissement ne devra pas dépasser 12 m².
Toutefois, vous aurez droit à une réduction sur certains travaux d’amélioration d’énergie, si vous changez votre système de chauffage pour un plus performant, par exemple, entrant dans les aides possibles, sous réserve que votre maison ait plus de 2 ans et que le travail soit réalisé par un professionnel RGE.
Je dois faire effectuer une étude de sol car la présence d’argile est souvent détectée dans ma région. Je voulais une idée du coût d’une telle étude.
Une étude de sol, pour la construction d’une maison, ce qui sera assez proche d’un agrandissement, se situe généralement dans une fourchette allant de 800 à 2 000 €. La moyenne du prix constaté se situe même autour de 1 000 €.
J’ai actuellement une chaudière qui est encore en bon état et qui ne suffira pas à couvrir les besoins de l’agrandissement. Que me conseillez-vous ?
Dans le cas d’un agrandissement, si c’est pour une pièce de jour, le chauffage au sol est intéressant. Ce chauffage peut aussi être électrique et, si vous avez optimisé l’isolation – et selon la région dans laquelle vous habitez – peut ne pas vous revenir trop cher en consommation. Un insert ou un poêle à granulés peut aussi être intéressant. Pour un coin nuit, si vous ne voulez pas renforcer votre chaudière actuelle, vous devrez aussi en passer par un chauffage électrique, pourquoi pas par les plinthes, pour une bonne répartition de la chaleur ?
Ma question est complexe : est-il préférable d’agrandir un bien existant ou de le vendre pour acheter plus grand ?
En effet, la réponse n’est pas simple. Elle repose sur différents aspects qui sont pratique, esthétique et financier, notamment. Pour l’aspect pratique, faire agrandir vous évite tous les tracas d’un déménagement, d’une vente de maison dont vous ne savez pas si elle se fera dans de bonnes conditions, rapidement et à quel tarif. Sur le plan esthétique, il faut voir si vous pourrez apporter du cachet à votre agrandissement sans que votre terrain s’en trouve déprécié. Enfin, sur le plan financier, il faut estimer le coût de l’agrandissement et s’il reste dans la marge du tarif des m² vendus dans votre secteur. Après, entre aussi en question des choix personnels de localisation, que ce soit par rapport à votre travail, à l’école des enfants, les choix de voisinage, ou encore si vous aimez votre maison, si elle dispose d’un bon confort ou si vous devrez, en plus, mettre de jolies sommes pour la rénover.
Je voulais connaître les garanties dont je disposerai pour mon agrandissement de maison ?
Comme sur une construction, vous disposerez d’une garantie décennale sur toute la partie gros oeuvre et des garanties traditionnelles pour tout les reste, avec les réserves d’usage pour les éventuelles malfaçons.